Cher journal
Quelques jours plus tard, il m’a recontacté. Tard le soir Toujours par messenger. Une distance de communication nécessaire. Je n’étais pas prête à lui parler de vive voix. Lui non plus sûrement.
J’ai répondu. Sans délai.
Nous avons échangé. Par cercles concentriques. D’abord de sujet éloigné de nous. Puis doucement, lentement, vers quelque chose d’autres. De plus proches de ce que nous voulions nous dire sans arriver vraiment au coeur de ce qui nous concernait (je dis "nous", mais je parle de moi. Je n’ai aucune idée de ce qu’il s’attendait à trouver en me sollicitant).
Puis le fil s’est rompu à nouveau.