cogito ergo sum.
Quand je suis excitée intellectuellement c’est tout mon corps qui en fait les frais. Mes seins se dressent, mon ventre est sans dessus-dessous. Je tangue un peu. L’ivresse des mots et des idées qui se déroulent, s’emmêlent, se délitent dans mon petit cerveau me rappelle l’effet des poèmes de Soupault. C’est agréable.